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Tuesday, January 21, 2014

Le compte rendu S1.


Compte rendu professionnel

Le compte rendu peut également être utilisé dans un contexte professionnel, la plupart du temps pour faire la synthèse d'une réunion. Les comptes rendus successifs suivent souvent un même modèle1.
Les mentions obligatoires sont portées en tête du document :
  • l'identification de l'auteur (ou entreprise ou service) ;
  • l'identification du destinataire ;
  • la date ;
  • l'objet./
Puis le sujet est détaillée de manière adaptée au sujet traité, par exemple un compte rendu de réunion reprendra l'ordre du jour, les informations échangées, les décisions prises et actions confiées à chacun, puis la date de la réunion suivante.
Dans tous les cas, le compte rendu ne fournit aucune proposition de solution : il doit toujours rester neutre et factuel (contrairement au rapport).
Au-delà de cette définition originelle, le terme de « compte rendu » tend aussi à prendre une signification moins stricte pour des usages professionnels spécifiques (compte rendu d'activité, d'avancement, de mission, d'essai, etc.), se rapprochant de celle du terme « rapport ».
Sa structure et son contenu dépendent alors du contexte et de l'objectif, et il peut aller au-delà d'une simple relation des faits, en mentionnant par exemple des commentaires, analyses, questions ou décisions. Mais dans tous les cas il est censé respecter un cadre précis, agréé entre le rédacteur et le destinataire, qui définit par exemple la structure, la typologie des informations et les conventions de codification.

  


L’organisation dans une entreprise S1.

La définition de l’organisation dans une entreprise:

omment bâtir une organisation dans l’entreprise qui soit cohérente et performante dans la projection d’une gestion d’entreprise optimale ? Tout dirigeant ou manager d’entreprise devra commencer par se poser les bonnes questions :
  • Qu’est-ce que l’organisation d’entreprise ?
  • Pourquoi une bonne organisation d’entreprise ?
  • Comment mettre en place cette organisation ?
  • Et enfin, Comment contrôler la qualité organisationnelle de ses services ?
Nous abordons ici les buts et finalités d’une bonne organisation d’entreprise et le fonctionnement d’entreprise.
Cet article est complémentaire des deux articles précédents sur ce même sujet Gestion efficace l’organisation d’entreprise où sont repris les bases de l’organisation en 2 temps Le suivi qualitatif de la mise en place de l’organisation dans l’Entreprise.

1.-Définition de l’organisation de l’entreprise

Élément capital, sans contestation possible, la bonne organisation d’une entreprise assure à celle-ci sa réussite.
  • Pour bien définir lorganisation et structure de l’entreprise, nous pourrions faire une comparaison avec le corps d’un grand sportif qui utilise tous ses atouts pour donner le meilleur de lui-même et finalement obtenir des résultats très satisfaisants. Et bien pour votre Entreprise c’est un peu la même chose, il vous faut adapter votre structure, motiver vos collaborateurs et améliorer sans cesse, et de manière harmonieuse, votre organisation.
  •  La différence avec des concurrents directs liés à  l’activité, se fera en partie grâce à la capacité du dirigeant à donner à l’Entreprise une impulsion de fonctionnement optimal.
  • Une bonne organisation permet d’aider l’entreprise à :
    • Anticiper et traiter les problèmes rencontrés avec mise en place immédiates d’actions correctives adaptées,
    • Économiser sur les dépenses inhérentes à la résolution de problèmes (financières, temps, stress …)
    • Conserver et retrouver toutes informations utiles très rapidement,
    • Diffuser des informations aux équipes de l’entreprise pour mobiliser tous les acteurs d’un service en les motivant à atteindre l’objectif fixé (objectifs commerciaux, de gestion etc…)

2.-Organisation et fonctionnement d’entreprise

  • Organisation et échanges
    • L’organisation a pour but de faciliter la qualité et la rapidité des échanges internes (information, produits, dossiers, données informatiques …).
    • L’organisation ne peut donc se réduire à un modèle « type » de mise en place par la direction, c’est bien un ensemble de processus, de structuration de services, d’organisation et gestion des collaborateurs qui contribueront à réaliser les missions quotidiennes de manière la plus efficace.
  • Améliorations et performances
La performance d’une entreprise, dépend entre autre du niveau d’uniformisation, de souplesse et d’adaptation des processus de fonctionnement interne à l’entreprise (fonctionnement d’un service, gestion de la base de données, procédures, communication inter-services, système informatique…).
Améliorer le fonctionnent de l’entreprise c’est s’assurer que l’ensemble des organisations soient « bien huilées » et qu’elles fonctionnent de concert vers des objectifs convergents à la direction.
Il est possible de distinguer plusieurs critères pour définir une organisation d’entreprise de qualité :
  • Sa capacité à faire fonctionner un service de manière autonome, fonctionnel et performant,
  • Sa capacité à évoluer et s’améliorer selon les souhaits et les besoins de la direction de l’entreprise,
  • Sa capacité à pouvoir grossir en même temps que l’entreprise,
  • Sa capacité à continuer de fonctionner en cas de problème important.
L’étude de la qualité d’une organisation doit  tenir compte de toutes les dimensions qui la constituent pour être utile à la direction.

Le dirigeant doit être un développeur de compétences et d’implication d’équipe

Nous aborderons dans notre tout prochain article le thème DES HOMMES dans l’organisation et management de l’entreprise,  vous y trouverez  des indicateurs et toujours les conseils de notre équipe.
                   
               

Introduction à l'économie politique S1.


Chapitre 1:

                          

                                                                         Chapitre 2:
                                                                       

                                                                          Chapitre 3:
                                                                        
                                                         
                                                                          Chapitre 4:
                                                                        

                                                                            Chapitre 5:
                                                                          

                     

Analyse Mathe S1.

TD Analyse mathématique 






                                                                   


                                                                                    
                                       

Cours Gestion Financière S5.

                           PALN DU COURS

INTRODUCTION GENERALE

1. Les mécanismes du circuit financier d’une entreprise
2. Objectifs de la gestion financière

CHAPITRE I : MODALITES DU CHOIX DES INVESTISSEMENTS

1. NATURE ET TYPOLOGIE DES INVESTISSEMENTS
1.1. Définition
1.2. Typologie des
1.3. Les paramètres d’un projet d’investissement

2. LES CRITERES DE CHOIX D’INVESTISSEMENT EN UNIVERS CERTAIN
2.1 La valeur actuelle nette VAN
2.2 Le Taux Interne de Rentabilité (TIR)
2.3 L’Indice de profitabilité (IP)
2.4. Le Délai de Récupération du capital investi (DRC)

3. LES CRITERES DE CHOIX D’INVESTISSEMENT EN AVENIR ALEATOIRE
3.1 Décisions uniques
3.2 Décisions séquentielles (Variables interdépendants)

4. CHOIX D’INVESTISSEMENT EN AVENIR INCERTAIN
4.1 Critère du MAXIMIN
4.2 Critère du MAXIMAX
4.3 Critère du MINIMAX
4.4 Critère de Laplace
4.5 Critère de Savage

CHAPITRE II: MODALITES DU CHOX DE FINANCEMENT

1. LES DIFFERENTES SOURCES DES MODES DE FINANCEMENT
1.1. Le financement par fonds propres
1.2. Les quasi- fonds propres
1.3. Le financement par endettement à long terme

2. Le CHOIX DES SOURCES DE FINANCEMENT
2. 1 Les contraintes de l’équilibre financier
2.2 la maximisation de la rentabilité financière : l’effet de levier
2.3 le calcul du coût de financement (le taux actuariel)
2.4 Les critères de choix des modes de financement

CHAPITRE III:LE PLAN D’INVESTISSEMENT ET DE FINANCEMENT

1 .LES OBJECTIFS DU PLAN DE FINANCEMENT

2. STRUCTURE DU PLAN DE FINANCEMENT

3. ELABORATION DU PLAN DE FINANCEMENT
3.3 Les relations entre la trésorerie et le plan de financement

4. L’AJUSTEMENT DU PLAN DE FINANCEMENT

4.1 La notion d’avant-projet
4.2 L’équilibrage du plan lorsque les ressources sont limitées
4.3 L’équilibrage avec possibilité de compléter les ressources financières

5. APPLICATION

CHAPITRE IV : LA GESTION DU BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT D’EXPLOITATION

1 .Les limites de l’analyse statique du besoin en fonds de roulement (B.F.R.)

2. La prévision du B.F.R. d'exploitation : le B.F.R. nécessaire
2.1 Les temps d'écoulement ou ratios de rotation
2.2 les coefficients de pondération

3 . Analyse des situations possibles du BFR
3.1 Le besoin en fonds de roulement est positif
3.2 Le besoin en fonds de roulement est nul
3.3 Le besoin en fonds de roulement est négatif

CHAPITRE V : LA GESTION DE LA TRESORERIE

1. LA MISE EN OEUVRE DE LA GESTION DE LA TRESORERIE
 1.1 La prévision de la trésorerie
1.2 Les ajustements nécessaires

2. LE BUDGET DE TRESORERIE
2.1 La méthode des encaissements des encaissements-décaissements : le budget mensuel
2.2 Les budgets flexibles : la prise en compte de l’incertitude
2.3 Le budget de trésorerie par la méthode des emplois-ressources
                    


Théorie des organisations S3.


La théorie des organisations peut être considérée comme une sorte de discipline qui intéresse particulièrement les personnes suivantes :
  • Les spécialistes de la gestion qui peuvent utiliser ces théories pour répondre à leurs questions.
  • Les praticiens qui utilisent les apports de la théorie des organisations pour résoudre leurs problèmes.
  • Les formateurs, sachant que les programmes de formation en sciences humaines et en ingenieurie contiennent souvent des matières en théories des organisations.
  • Les chercheurs et les congressistes.
Peut-on parler d’un champ disciplinaire propre au théorie des organisations ?
Les études organisationnelles s’intéressent à plusieurs champs organisationnels : sociologie, psychologie, psychosociologie, économie, gestion, …
La situation actuelle de la théorie des organisations est donc celle d’une discipline en phase d’évolution où s’affronte plusieurs courants de pensé et le champ disciplinaire ne cesse de s’élargir....
Éléments du cours
  • Introduction Générale
  • Typologie des Organisations
  • Théories des Organisations
  • Dynamique des Organisations
  • Explications théoriques de la Dynamique des Organisations

                                                               
                                                         


Comptabilité analytique S3.

La Comptabilité analytique est une comptabilité nouvelle, elle est apparue dans les années 30 pour 2 types de raisons :

  • les insuffisances de la comptabilité générale ;
  • raisons historiques (1930 : la crise économique mondiale).

Microéconomie: les comportements du consommateur.

Chapitre 1 : les comportements du consommateur 
Introduction :

 L’action du consommateur consiste a choisir parmi les biens économiques ceux qui peuvent lui procurer le maximum de satisfaction, compte tenu de sa contrainte budgétaire. Il choisira donc les biens économiques en fonction de leur utilité.

● Les choix rationnels du consommateur lui permettent de réaliser son équilibre statique qui peut varier en fonction de certains déterminants tels que le revenu et les prix.

● C’est à partir des conditions d’équilibre de ce consommateur qu’on peut déduire sa fonction de demande individuelle.


Section 1: la fonction d’utilité

Un bien est utile s’il procure une satisfaction à son consommateur.
  • La fonction d’utilité = la relation entre l’utilité et la quantité de bien ou des biens consommés(s).
Ux= f (qx)
qx : quantité de x
Ux : utilité de x
Il y a deux types d’analyse de l’utilité :

o Une analyse en termes d’utilité cardinale (quantification), fin du XIXéme siècle.
o Une analyse en termes d’utilité ordinale (classification), à partir des années 1910.


Hypothèse et concepts de base
 La distinction entre l’utilité totale et l’utilité marginale.

Utx=f (qx)

· L’utilité totale : mesure le niveau de satisfaction procuré au consommateur par la consommation d’une quantité donnée (x) d’un bien X.

UTx= U(x)

· L’utilité marginale : mesure l’accroissement de l’utilité totale, pour le consommateur, résultant de la consommation d’une unité supplémentaire du bien X.
Aperçu

L’hypothèse de la croissance de l’utilité marginale:

Aperçu

L’hypothèse de non saturation:
L’analyse ordinale de l’utilité :

      repose sur une relation qui doit être respecté et d’ordre total.
§  La relation de préférence : relation d’ordre Total
R = ≥ = préféré ou indifférent
  Aperçu
 § L’ensemble des combinaison des biens est un ensemble continu (hypothèse de divisibilité parfaite des biens).

§ L’augmentation de la consommation de quantités de bien, augmente toujours l’utilité totale et procure toujours une satisfaction plus grande (hypothèse de non-saturation).

La fonction utilité
Pour simplifier, on suppose que le consommateur  a le choix entre deux biens notés X et Y :
Pomme : X : x=qté
Banane : Y : y=qté
Les quantités consommées sont notée x et y.
Pour 2 biens X et Y, la fonction d’utilité du consommateur s’écrit :     U = f(x, y)
 Aperçu



Aperçu
Aperçu

L’espace des choix du consommateur (2 dimensions)

Aperçu


Les courbes d’indifférences
Définition :

Une courbe d’indifférence (ou d’iso utilité) est un ensemble de combinaisons de quantités de biens de consommation qui procurent au consommateur le même niveau d’utilité ou de satisfaction.
C’est le lien géométrique de toutes des combinaisons qui procurent le même niveau d’utilité ou de satisfaction.


0= f(x, y) = Cte
- See more at: http://www.fsjes-maroc.com/2013/11/Cours-microeconomie.Comportements-du-consommateur.html#sthash.pocZp7dd.dpuf

COMPTABILITÉ GÉNÉRALE: Cours PDF S2

Définition générale de la comptabilité

La définition de la comptabilité est simple. Il s’agit d’une pratique évaluant tous des flux financiers de l’entreprise. On appellera exercice comptable la période d’étude de ces flux. Elle permet donc d’être au fait du patrimoine détenu par la société.

Principe de base de la comptabilité générale : évaluer les flux

Afin de rendre l'information économique, commerciale ou financière vérifiable, traçable et sûre, la comptabilité générale utilise la notion de flux lors des enregistrements comptables. La comptabilité générale recense des flux des faits commerciaux, matériels, juridiques et économiques d'une entreprise. Par exemple : un fait commercial sera la vente ou l'achat d'un produit, un fait matériel sera l'usure des machines, un fait juridique sera l'engagement de rembourser un emprunt ou un achat, ou de payer le personnel, ou de payer les taxes et autres impositions, un fait économique sera la variation de la valeur d'un titre en portefeuille.
Le principe de base de la comptabilité générale consiste à enregistrer tous les événements économiques (appelés flux) sur deux colonnes : l'opération et sa contrepartie (Les deux colonnes s'appellent respectivement « débit » et « crédit »). La notion de flux répond à un principe : tout emploi suppose une ressource et il n'est pas de ressource qui ne trouve son emploi (partie double). Lors d'un enregistrement comptable le total débit est donc toujours égal au total crédit.
Le tableau suivant explique comment il est possible de décomposer un flux en plusieurs lignes d'écritures comptables : Il est possible d'envisager par exemple un débit d'augmentation de charge par la contrepartie au crédit d'une augmentation de dette.



Plan comptable général marocain

Le plan comptable général marocain réunit deux modèles : le modèle normal et le modèle simplifié. Il regroupe dix classes qui sont assignées comme suit :
  • Classe 1 : Comptes de financement permanent
  • Classe 2 : Comptes d'actif immobilisé
  • Classe 3 : Comptes d'actif circulant (hors trésorerie)
  • Classe 4 : Comptes de passif circulant (hors trésorerie)
  • Classe 5 : Comptes de trésorerie
  • Classe 6 : Comptes de charges
  • Classe 7 : Comptes de produits
  • Classe 8 : Comptes de résultats finis
  • Classe 9 : Comptes de produits et charges réfléchis
  • Classe 0 : Comptes spéciaux